Promise à la mi-avril, la vaccination des enseignants peine à se mettre en place en France. Invité samedi soir sur Europe 1, le président du Syndicat national des lycées et collèges a dénoncé « un mensonge d’Etat » sur cette vaccination. Pour lui, les conditions d’enseignement lors du retour des élèves en classe n’auront pas changé.

INTERVIEWLa colère monte parmi les enseignants concernant la vaccination contre le Covid-19, alors que le retour en classe va avoir lieu à partir du 26 avril pour les maternelles et les primaires et une semaine plus tard pour les collégiens et les lycéens. Promise à la mi-avril, cette vaccination semble de plus en plus difficile à se dessiner en France. En début de semaine, lors d’une intervention dans une classe virtuelle auprès d’élèves de troisième, Emmanuel Macron est resté vague sur ce point, indiquant seulement que les enseignants feraient partie des publics prioritaires quand la vaccination sera ouverte aux moins de 50 ans, c’est-à-dire à la mi-juin.

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